Dormin Rosella ”

« Personnage original »

CRÉDIT - FICHE Prince qui s'ignore

CARTE D’IDENTITÉ Nom : Rosella (Coquelicot en Catalan) Prénom(s) : Dormin Âge : 20 ans Sexe : Hermaphrodite Nationalité : Terminia Rang Social : Guerrier Zora Race : Zora Arc du forum : Arc 1 - OOT Ce que tu aimes : La loyauté Ce que tu détestes : L'hypocrisie QUALITÉS Honnête Altruiste Noble Loyal Généreux DÉFAUTS Timide Nerveux Impulsif Rancunier Hyper sensible Bon Neutre Mauvais Derrière l'écran Avez-vous lu les règles? 8 ans de rp Premier compte

Mes descriptions

« Ce qui ne te tue pas te rend plus fort. »

Physique

Automne, flamboyant, le manteau végétal de dame nature prend une teinte pourpre et or, se mêlant à la robe du ciel au crépuscule comme à l'aurore. Les cheveux longs, bercés par le vent, rougis d'une teinte naturelle qui est la sienne, Dormin est roux. Les nageoires lui servant de cheveux de feu ondulent et serpentent le long de son dos pour en atteindre les omoplates. On pourrait dire de lui qu'il est coquet. Certes, il aimait se mettre en valeur. L'on pouvait d'ailleurs remarquer les quelques formes androgynes qu'avaient pris son corps au passage à l'âge adulte. Les muscles, le corps et les traits fins du jeune Zora lui avaient plus d'une fois valu diverses railleries ou d'être confondue avec un membre de la gente féminine. Ce ne fut pas aisé à supporter et souvent pesant. Il s'accepte pourtant comme il est et s'en contente. La nature l'avait ainsi fait, mi-homme mi-femme. Car oui, Dormin avait un lourd secret. Là, sous l'armure, se cachait une entité bien particulière. Rare sont les représentant des deux sexes, encore plus ceux qui osent s'assumer. Mais Hermaphrodite il était. Il n'avait rien dit et n'en parle jamais, se contentant au mieux de feindre l'ignorance, agissant comme un homme parmi tant d'autres. Au pire, il encaisse les murmures et autres traits d'humour sur son apparence. Mais cette particularité est à double tranchant et s'il est assez habile, vous ne vous douterez jamais de l'existence de celle-ci. S'il conserve des traits androgynes lorsqu'il arbore le sexe fort, ce n'est pas pour rien. En effet, son corps ne fait que s'adapter à sa condition particulière pour favoriser le passage d'une apparence à l'autre. Pour se faire, il faut un violent choc thermique. Un bain d'eau glacée le changera en individu masculin et un bain d'eau chaude en ravissante jeune femme. L'eau tempérée n'ayant aucune influence sur lui. Mais revenons en plutôt à lui même. 1m75, une taille correcte pour un Zora de notre époque, bien que peu épais. Le corps épuisé par un très long et délicat entrainement, ce dernier privilégie la défense le temps de se régénérer pleinement. Ses yeux en amandes sont d'un beau vert émeraude qui rappelle la teinte de la mer. Comme expliqué plus haut, son visage ressemble à s'y méprendre à celui d'une jeune femme. Seuls quelques minces détails sur ce dernier trahissent cette identité masculine et aident à sa crédibilité. Il est croisé Hippocampe et poisson perroquet.

L'homme sous le masque~ Farouche est le poisson qui se sait traquer en pleine mer. Difficile à approcher, encore plus à apprivoiser et enfin, redoutable lorsque menacé. D'un naturel discret, il parle peu aux gens qu'il ne connait pas assez. Il se confit cela dit plutôt aisément aux gens qu'il apprécie et admire. L'art le touche sous toutes ses formes. Que se soit l'expression du corps ou une expression plus ou moins démonstrative, voire abstraite. Ses intérêts vont vers la musique, l'art visuel et l'expression culinaire. En grand timide, il est prude et chaste. Souvent malmené par ses comparses, il fut mis à l'écart très jeune de par sa nature et ses origines. Sa couleur de cheveux faisait souvent peur à certaines peuplades au cours des voyages en compagnie de son maître. Notamment car il s'agit de la couleur arborée par les pirates et les Gerudos. Mais, fier de ce qu'il est, il refusait de se cacher et encaissait tout commentaire, renforçant son esprit contre ce genre d'attaques gratuites. Dormin quelqu'un de sensible et foncièrement bon, doux, généreux et gentil. Il aime se savoir utile et défendre quelque chose qui en vaut le coups. Pourtant, il se bat peu souvent pour ses propres intérêts, préférant se sacrifier plutôt que de s'imposer. Dans des cas comme ça, il prendra la fuite et se montrera particulièrement pathétique. C'est peut-être pour cette raison qu'il a fini complètement seul, à force de fuir les chances qui s'offraient à lui. Notre Zora souffre beaucoup de cette solitude. C'est pourquoi il n'aime pas voir les autres souffrir et se sentira le besoin de tenter d'apaiser le chagrin d'autrui s'il le peut. Toute juste cause vaut la peine qu'on se batte pour elle. Notre chevalier est cependant naïf et craintif. Une fois qu'il a perdu pied et cédé à la panique, il cesse de se défendre pour enfin passer à l’offensive, porté par l’adrénaline, jusqu'à ce que ses nerfs lâchent et le laissent à bout de force. Même s'il ne le montre pas ouvertement, il est susceptible et a besoin d'évacuer son mal être en se dépensant par des actes constructifs. Il n'aime pas perdre son temps, il préfère l'exploiter à bon escient. Malgré tout, il souffre d'un certains manque affectif qui reste son talon d’Achille. Il préfère vivre seul, très discret, pour ne pas gêner les autres et se sentir lui même oppressé. Cependant il se donne toujours à fond dans ce qu'il fait que se soit seul ou en équipe. Il a appris à faire preuve de sociabilité pour survivre et vaincre ses peurs et s'en sort relativement bien. Il fait alors preuve d'une aisance déconcertante qui contraste parfaitement avec son naturel sauvage. C'est d'ailleurs dans ces occasions qu'il se montre le plus souriant, mais ces actes ne sont jamais hypocrites. C'est un effort qu'il fait car il le veut bien et en a envie. Soit parce qu'il est intrigué, soit intéressé. Dormin vit par passion et celle ci s'embrase vite lorsque quelque chose le motive vraiment. Il mettra toute son énergie dans une tâche pour laquelle il voudra se dévouer corps et âme... et ce jusqu'à épuisement... Quitte à s'en brûler les ailes et à le regretter amèrement après. Joueur, il reste un grand enfant derrière le chevalier. Il aime profiter de la vie sans se prendre la tête et respirer un maximum. Il souffre cependant de sa solitude. Il préfère être un exécutant plutôt qu'un meneur bien que sa force de caractère lui ai permis de donner des conseils avisés et quelques directives à quelques âmes en détresse pour leur montrer des moyens de s'en sortir, même face aux causes perdues. Il aime les grands défis et braver l'impossible, l'interdit, sans pour autant se mettre en danger. Il cherche sans cesse les limites pour se prouver à lui même qu'il peut les repousser. Il aime partager ses expériences. Dormin mène cependant ce genre de combat seul histoire de n'entrainer personne si décadence il doit y avoir. Il préfère se sacrifier plutôt que voir les autres souffrir avec lui. C'est un bouclier. Dormin est totalement soumis! Il n'ose pas s'imposer et discute peu les ordres, ayant totalement confiance en l'ordre à qui il doit d'être, à ce jour, en vie et à sa place. Il respecte ce dernier comme sa propre famille, le côté affectif en moins. Les hommes l'impressionnent beaucoup et il préfère fuir leur compagnie la plupart du temps. Pas qu'il ne les aime pas, mais le conflit intérieure entre ses deux identité à la fois féminine et masculine le pousse à se mettre de côté lui même pour ne pas subir un retour de flammes, poussé par certaines pulsions qui le pousseraient à la faute. Il préfère la compagnie sensuelle et complice des femmes. Il y trouve un havre de paix non négligeable et nécessaire à son bien être. Il s'y ressource et s'apaise en leur présence, libre de tout complexe et de parler librement. Bien plus détendu alors il peut laisser parler son véritable lui et profite d'une véritable bouffée d'air frais. Un peu comme un enfant retrouve les bras de sa mère, en quête de réconfort. Mais... Il souhaiterais secrètement et sans se l'avouer trouver éventuellement la sécurité des bras d'un homme.

Psychologie

Histoire

Il fut un temps, quand tous les peuples étaient encore unis en une seule et même et même communauté, quatres divinités. Chacune d'elle avait pour rôle de veiller sur les éléments et le vaste territoire qu'allait devenir Terminia, chacune avec l'aide d'un géant chargé de veiller sur ces terres. L'ainé créa la terre rouge de ses bras enflammés et donna aux Ikanas un royaume à gouverner à condition qu'ils honorent les morts et respectent les vivants. La cadette créa le ciel, inonda la terre de l'océan et fit tomber la neige sur les montagnes, offrant un abri aux Zoras et aux Gorons. La benjamine donna vie à toute chose et fit pousser flore et croitre la faune. Tous les peuples unis sous la même bannière, à la gloire de leurs divinités tutélaires, vivaient au centre de ce territoire dans une gigantesque capitale consacré au temps, comptant les dates anniversaire depuis la création de ce merveilleux endroit. Mais qu'en est-il de la quatrième divinité, la plus jeune? Elle qui fut chargé de l'ordre et d'amener la paix dans les esprits des mortels?... L'histoire l'a vite écartée... Pour servir cette dernière et l'aider dans sa quête furent élu 10 jeunes et forts mortels de chaque race parmi les plus valeureux. Bien des générations d'élus se succédèrent, mais nous nous intéressons à la dernière, il y a des temps immémoriaux de mémoire d'homme. Des légendes dont on ne retrouve trace que dans de très anciens écrits à peine lisibles aujourd'hui. Les Hérault des hommes se nommait Minos Thanos et possédaient le pouvoir de commander au sommeil et aux songes ainsi que de commander aux défunts. Ceux des Pestes Mojo se nommait Azul et Drillade et étaient des maitres dans l'art de la dissimulation et de la régénération. Les Hérault des Gorons étaient un jeune mangeur de pierre aux cheveux bleus comme le ciel dont la barbe longue et épaisse démontrait son statut au sein de sa tribu, ses poings étaient capables d'éventrer la terre et son appétit n'avait d'égal que sa force, ainsi qu'une Goron du nom de Sallak brutal qui ne jurait que par sa propre puissance mais ayant prouvé plus d'une fois son efficacité. Les élus des Ikanas étaient des jumeaux et leur identité diffère selon les versions. Certains disent qu'il s'agissait de deux femmes, d'autres d'un homme et de sa soeur... Toujours est-il que ce duo était le plus créatif et basaient leur puissance sur les souhaits et les fantasmes des mortels. Et ce dernier fut canalisé par le dernier élu, celui des Zoras, Dormin aux nageoires pourpres comme le corail le plus vif, l'altruiste. L'autre élu des Zora était un habitant des profondeurs aux écailles aussi noires qu'un ciel sans lune du nom de Karras et commandait aux Corbec et autres oiseaux. Ils avaient été sélectionnés avec soin pour servir les dieux et les honorer de par des actes héroïques. Faisant régner la paix et la justice au sein de leur communauté, protégeant la capitale de tout assaut. Une élite constitué de preux chevaliers sacrés unis envers et contre tout pour chasser le mal. Mais plus le temps passe et plus les mémoires s'estompent. Les coutumes se perdent, les conflits éclatent entre générations et entre races selon les besoins de chacun, incompatibles avec les souhaits des autres. Les rites pour vénérer les déesses se banalisent, les mortels deviennent cupides, s'émancipent des dieux et finissent par les oublier pour une grande majorité, se contentant de vivre leur vie sans se soucier d'eux. Le rôle des élus n'est donc plus que de protéger la cité... Voyant leur foie ébranlée, des guerres intestines éclatèrent au sein de l'élite et du peuple et la communauté éclata... Face au chaos qui sévissait, des tensions éclatèrent au sein des 10 élus. Tandis que certains s'évertuaient à protéger les uns de la cupidité des autres, le peuple cédant de plus en plus à la corruption en l'absence de divinité pour les aider à croire ou de tout témoignage de leur présence. Les générations qui furent témoins de leur apogée n'étaient plus depuis de trop nombreux siècles.... D'autres cédaient aux bas instincts et à la tentation... Sallak profita du chaos et de son pouvoir pour assouvir sa soif de violence et déclencha de nombreuses batailles entre les divers peuples, conflits alimentés par les propos de Karras, avide de voir cette animosité se répandre afin de créer une grande purge. Seuls les forts survivraient... pourquoi s'encombrer des faibles sinon pour les user jusqu'à la moelle... Ils furent bientôt rejoints dans leur entreprise par de nombreuses personnes. Submergés par le nombre, une partie des élus prirent la fuite. Ceux qui restèrent ne purent que contempler impuissants la déchéance de ce monde qu'ils étaient censés protéger. Où étaient les dieux? N'étaient-ils pas supposés punir les traitres à leur cause? N'étaient-ils rien d'autre que des chimères? Où étaient les géants censés veiller sur eux? Pour la première fois le poids de leur propre impuissance. Ils n'avaient finalement d'élus que le nom... Et telle une flamme leur foi finit par s'éteindre et les peuples se séparent pour s'en retourner chacun de leur côté, s'éparpillant aux quatre vents. La ville fut longtemps désertée, ne restait plus que le chevalier aux écailles de corail ayant perdu plus d'un ami dans ces guerres intestines. Ce qui avait été fait et vu ne pouvait être effacé, on ne remonte pas le temps... Ils étaient des hommes et rien que des hommes face à la main cruelle du destin. Le soir du festival, la capitale était aussi déserte qu'à l'accoutumée. Seul, il monta au sommet de l'horloge, sur le plateau pivotant faisant courir le temps. Ce dernier se figea pour accueillir les pieds du Zora fatigué... On ne peut pas aider quelqu'un qui ne veut pas l'être... Une voix seule dans la multitude se perd... On ne peut pas apaiser tous les esprit. N'avait-il d'autre choix que d'accepter ce qui était arrivé? Chaque pas qu'il faisait laissait une trace de sang derrière lui, ruisselant sur son corps écailleux depuis un sac sur son épaule... Il jeta ce dernier sur le bois peint et quatre imposantes têtes roulèrent hors de leur contenant. "Ô vous qui étiez sensés veillez sur nous... Voilà les pathétiques offrandes que j'ai à vous faire ce soir. Les visages hilares de pauvres diables s'étant cru capables de changer le monde. Moi, qui croit encore en cette humanité flouée et effrayée, j'ai été cueillir les fleurs du mal là où s'étaient mises à germer et en ait répandu la sève aux quatre vents... Mais leurs racines sont encore profondément enfouies en nous... Ce soir, ô Lune d'argent, je vous le confesse... je ne suis qu'un mortel bien incapable de sauver les miens. Me voilà devant vous couvert du sang de ceux qui furent mes camarades et ayant répandu le chaos... Les autres sont parti chercher une vie meilleure... Seul je reste... Seul je suis indigne de servir votre cause... seul je ne suffis pas à faire vivre la magie qui fut la vôtre." Des bruits se firent entendre aux portes du clocher, il n'avait plus beaucoup de temps. IL se savait déjà mortellement blessé des suite de ces quatre combats... Trois jours à batailler seul contre le vent pour récolter ce maigre butin. Le zora tomba à genoux et porta une lame de corail aiguisée à sa gorge et la course du temps s'arrêta pour lui, répandit le liquide pourpre de sa vie aux pieds de ses anciens compagnons d'armes encore en vie ayant tenté de l'arrêter... On dit du chevalier que son âme se changea en coquelicot et que depuis les pavots poussent en Terminia au printemps lorsque le festival du temps approche. Conte et légendes de TErminia - le Chevalier corail et le coquelicot. -------------------------- Notre histoire prend sa source loin des terres étranges d'Hyrule, en un royaume baigné d'or et de lumière où la paix règne depuis de nombreuses années sous le regard bienveillant de trois déesses dorées. Hyrule, berceau des légendes et du saint royaume où reposerait une extraordinaire puissance divine. Mais ce n'est pas de cela que notre histoire parlera. Remontons un peu le cours du temps au fil de l'eau. En remontant le courant de la rivière, nous arrivons aux portes du domaine privé et fermé aux curieux du peuple de l'eau, les Zoras. Ces formidables créatures aquatiques vivent en monarchie sous le règne du jeune roi Do Bon XVI. Ce dernier est encore un Zora qui doit faire ses classes en tant que monarque. Il ne possède pas encore les formes que nous lui connaissons et a plutôt fière allure. C'est tout récemment qu'il prit la succession de sa mère, décédée lors d'un Hiver trop froid alors qu'elle tentait de calmer le blizzard venant de la caverne de glace. Signe d'un mauvais présage, les conseillers du roi virent la disparition de leur bien aimée reine d'un très mauvais oeil. Le jeune prince n'avait plus son père, tué par les Gerudos lors d'une énième bataille ayant éclatée entre les deux peuples rivaux ni sa mère pour le guider. Il était encore trop immature, trop impulsif pour avoir les qualités d'un bon souverain, sans parler du fait qu'il soit particulièrement volage. Il ne fut donc pas rare de voir des oeufs uniques arriver de temps à autre parmi les diverses concubines du jeune prince. Chacun était alors immédiatement détruit. Tout oeuf fécondé et illégitime ne pouvait voir le jour sous peine de menacer la monarchie. Un contrôle régulier des naissances était donc nécessaire. Jusqu'au jour où le prince dû prendre épouse. C'est à partir de cette époque que le souverain devint plus sage, tombé sous le charme de la simplicité et de la douceur de sa promise. Plus de concubine, il devint fidèle à celle qui devint sa reine et lui donna, bonheur absolu, un premier oeuf qui devait éclore au printemps. Le royaume Zora était en liesse et la ponte devait avoir lieu au lac Hylia près du temple de l'eau pour honorer les déesses par cette naissance. Le travail commença tard dans la nuit et se prolongea jusqu'à l'aube. De magnifiques coquelicots s'ouvrirent pour saluer les premiers rayons du soleil... Mais la reine ne supporta pas cette première grossesse et succomba de fatigue peu après la mise à bas. Le vent balaya le vaste lac, emportant la vie de la nouvelle mère loin d'Hyrule et laissant un roi épleuré derrière elle n'ayant même pas la force de se soucier de l'oeuf flottant à la surface de l'eau et emporté par les courants vers le rivage... Droit dans les bras d'une demoiselle aux longs cheveux roux... La nouvelle de cet heureux évènement n'était pas tombée dans l'oreille d'une sourde et les Gerudos avaient tout planifié, jusqu'à empoisonner le dernier repas servi à la reine sur place. Un jeu d'enfant pour un évènement aussi rare que la naissance d'une couvée royale. Voilà qui se revendrait cher sur le marché noir auprès de quelques gourmets bourgeois avides de nouvelles sensations. Tout se passait comme prévu, les voleuses regagnaient leur repère avec leur précieux butin enfermé dans une bouteille d'eau du lac Hylia, jusqu'à ce qu'une horde de guerriers Zoras ne leur tombe sur le coin du nez. Biensûr ça aurait été trop simple... Ils n'avaient pas pu sauver la reine, mais ils pouvaient toujours sauver l'oeuf. La bataille éclata et personne ne prêta attention à la bouteille lorsque celle-ci tomba dans la rivière Zora, les combattants trop occupés à se battre contre le peuple rival. Finalement leur conflit avait eu raison de la mission de chacun... L'oeuf disparut et ne fut jamais retrouvé, même après avoir retourné tout Hyrule... Histoire des Zoras et monarchie. ------------------------------ C'est le printemps sur Termina et le carnaval du temps est pour très bientôt. Tout le monde s'affaire aux derniers préparatifs et se prépare à faire un beau festival. Bientôt aux pics blancs, les formidables courses de Gorons reprendront, la neige ayant suffisamment fondue dans les montagne pour rendre le terrain praticable. Le soir tombait sur le territoire des fiers Gorons et un vieux forgeron du nom de Kraun cherche les Galets dans la rivière venant des bois perdus et passant au pied de la montagne. Réputés pour être des mets très fins pour le palais d'un mangeur de pierre, il les cueille au fond de l'eau.

Quel style de vie mène votre personnage? Et s'il combat, comment le fait-il? Tout autre détail, ici...

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